Quel que soit le projet – rénovation ou neuf, résidentiel ou locatif, avec un timing confortable ou très court – le style et le budget, il est donc possible aujourd’hui de proposer le parquet en répondant à toutes les exigences d’un client.

Mise en valeur d’un intérieur
Quel que soit l’aménagement souhaité, le parquet apporte une touche de confort et de chaleur aux intérieurs un peu froids, renforce l’esprit cocooning d’une ambiance « maison de campagne », met en valeur une déco scandinave épurée… Cet engouement du public, les fabricants l’ont bien compris, et aujourd’hui multiplient les gammes et les styles : Brut ou coloré (blanc, gris, miel, noir, ou pourquoi pas peint après la pose…), mat ou satiné, en larges bandes ou en chevron, proposé en différentes essences, …

Et s’il est autant, c’est parce qu’il présente à l’usage de nombreux atouts. Robuste, il est aussi facile d’entretien. Jamais froid comme le carrelage, il accroit le confort ressenti par les occupants à température égale. Ne stockant pas la poussière comme la moquette et plus naturel qu’un revêtement PVC, il garantit un air intérieur plus sain (même pour des occupants souffrant d’allergies).
Invitez-le partout dans la maison
Son succès est tel qu’il est aujourd’hui posé dans toutes les pièces de la maison. On retrouve le parquet dans le séjour, les chambres, les bureaux et bibliothèques et même dans les salles de bain en version « spécial pièces humides ». Reste à l’intégrer à une stratégie globale. On pourra en effet poser le même parquet dans toutes les pièces de la maison pour conserver une vraie unité, ou délimiter des espaces en adoptant des parquets différents. Mais dans tous les cas, il s’adaptera au budget du projet, puisque s’il se décline en une offre particulièrement riche qui autorise toutes les audaces en déco, il est aussi proposé dans une vaste gamme de prix !

Le sol stratifié, une alternative à petit prix
Pour les projets à prix serrés, le sol stratifié offre une alternative à petit prix au véritable parquet bois. Une option à ne pas négliger car côté esthétique, ce sol synthétique n’a plus rien à envier au bois véritable. Et s’il n’en a pas la noblesse ni la durée de vie, il est plus facile d’entretien, et convient pour des rénovations plus rapides et plus économiques.
Massif ou contrecollé, un choix perso !
Le parquet se répartit en deux grandes familles :
● Le parquet massif, composé d’une seule essence de bois,
● Le parquet contrecollé formé de trois couches de bois : une couche supérieure (visible) en bois noble (chêne, hêtre…), une couche intermédiaire (l’âme centrale) et une couche de contreparement.
Une fois le parquet posé, impossible de distinguer visuellement le massif du contrecollé. Toutefois, le premier peut être poncé plusieurs fois au fil des années et se montre quasi inusable, mais il est aussi plus cher. Tout est donc une question de choix : investir sur le long terme et poser un parquet massif, ou miser sur un prix inférieur qui permettra de changer la déco après quelques années (une durée variable selon l’usage, plus ou moins intensif, et l’épaisseur de la couche supérieure du contrecollé). Toutefois n’en concluez pas que les contrecollés sont des parquets fragiles : certains sont garantis 10, 15 voire 25 ans !

Un budget sur mesure
Les prix du parquet (annoncés au m 2 ou à la « botte », de 10 ou 12 lames environ : attention à bien comparer la même chose) varient d’une vingtaine d’euros à plus d’une centaine d’euros le mètre carré. A ce prix, il faudra ajouter la pose. Une tâche qui peut aujourd’hui être plus rapide et plus simple avec les parquets « clipsables », dont les lames s’emboitent les unes dans les autres. Le parquet bois flottant (par opposition au plancher dont chaque lame est fixée au sol), clipsable, existe en contrecollé comme en massif.